L comme Légionnaire : Tout un parcours

Dans mon dernier article, on a vu le parcours militaire de Pierre Miodet appelé à servir dans l’armée de Napoléon. Pierre est fait Chevalier de la Légion d’honneur le 28 novembre 1813. La Légion d’honneur est une distinction créée en mai 1802 par Napoléon Bonaparte alors Premier consul dans le but de reconnaitre et deLire la suite « L comme Légionnaire : Tout un parcours »

L comme Légionnaire : Pierre Miodet

J’ai toujours entendu le terme légionnaire être utilisé pour désigner les soldats de la légion étrangère mais il semble qu’on l’utilise également pour parler des récipiendaires de la Légion d’honneur. Je vous ai déjà parlé de Jean-Pierre Frey un de mes grands-oncles paternels qui, à l’âge de 102 ans, avait reçu le rang de ChevalierLire la suite « L comme Légionnaire : Pierre Miodet »

F comme Familles Foraines : Miodet, Gauthier, Lafont, Prudhomme, Lecaillon

Dans mon dernier article, j’ai exploré le parcours des sept filles de la famille Miodet et plus particulièrement les mariages de quatre d’entre elles avec des enfants de forains. Mais qu’en est-il des garçons Miodet et de leur potentielle descendance ? Joseph Miodet et Séraphine Griffart ont eu quatre fils Benoit (1869-), Jules François (1871-72),Lire la suite « F comme Familles Foraines : Miodet, Gauthier, Lafont, Prudhomme, Lecaillon »

F comme Familles Foraines : Miodet, Dasque, Boutin, Lombardo et Glaudio

J’ignore comment, au 19e siècle, on devenait forain, mais je pense avoir une bonne idée de comment on le restait. On estime qu’il y avait quelques milliers de forains qui sillonnaient les routes de France. Les familles planifiaient leurs déplacements plusieurs mois et semaines à l’avance. Les enfants suivaient leurs parents et étaient régulièrement misLire la suite « F comme Familles Foraines : Miodet, Dasque, Boutin, Lombardo et Glaudio »

B comme Banquistes

« Carrousels, chevaux de bois et orgues de barbarie peuplent l’imaginaire de la fête foraine. Cet espace d’évasion apparait au XIXe siècle, lorsque la foire devient un lieu festif et un refuge face à l’urbanisation et à l’industrialisation grandissantes. Elle trouve son apogée à la Belle Epoque et représente un phénomène social nouveau : une fêteLire la suite « B comme Banquistes »

S comme Séraphine et son Saltimbanque

C’est en cherchant mon arrière-grand-mère Miodet que j’ai découvert que ses parents Joseph Miodet et Séraphine Griffart étaient des gens du voyage. Ils se déplaçaient à travers la France pour faire les foires et les fêtes de village. C’est justement à l’occasion d’une de ces foires, probablement dans le nord, qu’ils se sont rencontrés :Lire la suite « S comme Séraphine et son Saltimbanque »

M comme Marie Miodet

Gustave, mon grand-père maternel est né en 1906 à St-Jean-des-Ollières dans le Puy-de-Dôme, de Jean Gourcy et Marie Miodet qui n’étaient pas mariés. Si j’étais parvenue à retrouver les antécédents de Jean Annet Gourcy, il en était autrement pour Marie. Des Marie Miodet, il y en avait plusieurs à St-Jean et dans la région maisLire la suite « M comme Marie Miodet »